Mon corps à mal,
mes jambes flageolent sous la douleur,
mes larmes se soulèvent dans des sanglots douloureux
Alors plus rien n'a d'importance
que la raison de mon mal être.
Demain peut-être j'accepterai,
j'apprendrai à vivre avec le vide,
de ce qu'un compagnon de l'homme
apporte de joies et d'amour.
Pas de mot.
Dans ses yeux débordant d'affection, d'admiration et d'intelligence,
je ne pourrais plus lire les expressions de ma belle, gentille et douce Lola.
Parfois, perdre un animal c'est perdre un frère, une sœur, un ami...Tu as joliment écrit,c'est un bel hommage à ta bête ! J'espère que le temps et la vie t'apporteront une forme de consolation même si l'épreuve et difficile. En tout cas, la douce Lola a eu de la chance de t'avoir comme maîtresse...
RépondreSupprimerAffectueusement,
Marc.
Au contraire de l'humain l'animal aime sans condition et reste fidèle à son maître et à sa maîtresse voilà pourquoi je préfère les animaux aux humains ... notre gentille lolotte va nous manquer mais elle repose maintenant tout près de Ruby au paradis des chiens.
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